Quand on se sait photographier, un mot premier, un réflex : « je n’ai pas l’habitude, je ne suis pas à l’aise, pas photogénique ». Cette gêne ressentie quand on a peur du résultat, du regard sur sa propre image.
On a tous une belle raison, que ce soit pour le plaisir, l’envie, pour avancer ou le challenge, d’avoir un portrait qui nous ressemble. Mais de là à passer le cap…
Pauline, nous a donné la preuve que parfois c’est un besoin. Tout simplement. Pour se voir comme on est ou comme on ne se voit pas, se laisser aller, se laisser prendre au jeu, se laisser surprendre. Une des belles rencontres de cette fin de printemps.